Nouvelles lois sur les boissons sucrées : Ce qui change en 2025 pour la fiscalité et le secteur en France

Loïs Boisson, jeune tenniswoman française de 21 ans, a récemment fait parler d’elle lors de l’Open de Rouen, un tournoi WTA 250. Après une victoire convaincante au premier tour contre la Britannique Harriet Dart, Boisson a affronté la Japonaise Moyuka Uchijima au deuxième tour. Malgré un début de match prometteur, où elle a remporté le premier set 6-1 et mené 5-1 dans le deuxième, Boisson a finalement cédé en trois sets (1-6, 7-6 [4], 6-4). Ce match a été marqué par un retournement de situation inattendu, avec Uchijima remportant les deux derniers sets après avoir été breakée à trois reprises.

Cette performance souligne les défis auxquels sont confrontés les jeunes talents du tennis féminin français sur le circuit WTA. Malgré des débuts prometteurs, la transition vers le haut niveau reste semée d’embûches, nécessitant une adaptation constante et une résilience face aux revers.

Par ailleurs, le secteur des boissons en France connaît des évolutions notables en 2025. La loi de finances pour 2025 a introduit des modifications significatives concernant la taxation des boissons. À partir du 1er mars 2025, le barème de la contribution sur les boissons non alcooliques contenant des sucres ajoutés a été simplifié, passant de 15 à 3 tranches fiscales. Les tarifs applicables sont désormais les suivants :

– Inférieure à 5 kg de sucre par hectolitre : 4 euros par hectolitre
– Entre 5 et 8 kg de sucre par hectolitre : 21 euros par hectolitre
– Supérieure à 8 kg de sucre par hectolitre : 35 euros par hectolitre

Cette réforme vise à simplifier le système fiscal et à encourager les producteurs à réduire la teneur en sucre de leurs produits.

En outre, le gouvernement envisage d’augmenter la taxe sur les boissons sucrées dans le cadre du budget 2025. Cette mesure a pour objectif de réduire la consommation de ces produits, reconnus pour leurs effets néfastes sur la santé publique, notamment en matière d’obésité et de maladies cardiovasculaires. Les industriels ont exprimé des inquiétudes quant à une possible hausse des prix de l’ordre de 10%, ce qui pourrait impacter le pouvoir d’achat des consommateurs.

Ces initiatives s’inscrivent dans une politique de santé publique visant à lutter contre les maladies liées à une consommation excessive de sucre. Cependant, elles soulèvent des débats quant à leur efficacité et à leurs conséquences économiques pour les acteurs du secteur des boissons.